Un mot, une phrase...une histoire ! (3)

Le principe est simple : le but est d'écrire une histoire tous ensemble rire
Par exemple je commence avec un petit bout de phrase et quelqu'un d'autre derrière continue avec une autre et ainsi de suite...à force, on va écrire une histoire.

Par contre se serait bien d'attendre genre deux post après le notre avant de pouvoir remettre un bout de phrase pour pas que ce soit toujours les même qui écrivent. Et dans chaque post il faudrait qu'on reprenne le texte complet a chaque fois et on complète avec notre phrase... Amusez vous bien

Je commence :Il était une fois, dans une galaxies très lointaine Je plaisante



Je commence (vraiment cette fois ci ) : Cette nuit là, un orage grondait sourdement...

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre
libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A
l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la
foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avaient à première vue rien d'extraordinaire !

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avaient à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avaient à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avaient à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants !

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avaient à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si u berger se faisait attaquer par ses moutons.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avait à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si un berger se faisait attaquer par ses moutons.
De Panurge peut-être les pucerons étaient las de tenir, bas les pattes et tombent les chaînes de l'esclavage! Foudre et feu, tambours sous les nuages, en ce jour éclatait à la vue de tous la révolte des opprimés; premiers martyres des herbes et des fourrés.

[quote="Arkos"]Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avait à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si un berger se faisait attaquer par ses moutons.
De Panurge peut-être les pucerons étaient las de tenir, bas les pattes et tombent les chaînes de l'esclavage! Foudre et feu, tambours sous les nuages, en ce jour éclatait à la vue de tous la révolte des opprimés; premiers martyres des herbes et des fourrés. Les pucerons, en majorité numérique, écrasèrent les fourmis, qui se défendirent néanmoins avec rage (ou était-ce du désespoir ?) et l'honneur de leur longue lignée.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avait à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si un berger se faisait attaquer par ses moutons.
De Panurge peut-être les pucerons étaient las de tenir, bas les pattes et tombent les chaînes de l'esclavage! Foudre et feu, tambours sous les nuages, en ce jour éclatait à la vue de tous la révolte des opprimés; premiers martyres des herbes et des fourrés. Les pucerons, en majorité numérique, écrasèrent les fourmis, qui se défendirent néanmoins avec rage (ou était-ce du désespoir ?) et l'honneur de leur longue lignée.
A l'abri dans sa tour de roseau, la libellule attendit que l'orage se calme, que le feu ténébreux des combats s'éteigne, que les pucerons épuisés s'octroient un maigre repos, car les coccinelles ne tarderaient pas à vrombir dans leur direction et elle pourrait enfin agir.

Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avait à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si un berger se faisait attaquer par ses moutons.
De Panurge peut-être les pucerons étaient las de tenir, bas les pattes et tombent les chaînes de l'esclavage! Foudre et feu, tambours sous les nuages, en ce jour éclatait à la vue de tous la révolte des opprimés; premiers martyres des herbes et des fourrés. Les pucerons, en majorité numérique, écrasèrent les fourmis, qui se défendirent néanmoins avec rage (ou était-ce du désespoir ?) et l'honneur de leur longue lignée.
A l'abri dans sa tour de roseau, la libellule attendit que l'orage se calme, que le feu ténébreux des combats s'éteigne, que les pucerons épuisés s'octroient un maigre repos, car les coccinelles ne tarderaient pas à vrombir dans leur direction et elle pourrait enfin agir. Elle quitta son poste sans un bruit, de peur de se faire repérer par les pucerons endormis, quand tout à coup un évènement inattendu se produisit...

Tári Cúthalion a écrit:Cette nuit là, un orage grondait sourdement. De sa fenêtre, notre libellule apercevait les couleurs enchantées de cette fête ténébreuse. A l'approche de l'officiant et des suppliciés le silence s'abattit sur la foule. La libellule se demanda pourquoi toutes ces fourmis se tinrent coites tout à coup, après tout, ce troupeau de pucerons n'avait à première vue rien d'extraordinaire ! Mais ce n'était pas le troupeau de pucerons qui était extraordinaire, mais plutôt le feu du ciel qui brillait. Ils avaient pourtant déjà observé et admiré la foudre aussi hypnotisante que menaçante, mais cette fois elle semblait différente. Oui, comme si le Dieu des fourmis lui-même abattait sa folie vengeresse sur ces pucerons qui avaient osé s'élever contre ses enfants ! Pourtant, les fourmis leur donnaient tous ce dont ils avaient besoin. C'était comme si un berger se faisait attaquer par ses moutons.
De Panurge peut-être les pucerons étaient las de tenir, bas les pattes et tombent les chaînes de l'esclavage! Foudre et feu, tambours sous les nuages, en ce jour éclatait à la vue de tous la révolte des opprimés; premiers martyres des herbes et des fourrés. Les pucerons, en majorité numérique, écrasèrent les fourmis, qui se défendirent néanmoins avec rage (ou était-ce du désespoir ?) et l'honneur de leur longue lignée.
A l'abri dans sa tour de roseau, la libellule attendit que l'orage se calme, que le feu ténébreux des combats s'éteigne, que les pucerons épuisés s'octroient un maigre repos, car les coccinelles ne tarderaient pas à vrombir dans leur direction et elle pourrait enfin agir. Elle quitta son poste sans un bruit, de peur de se faire repérer par les pucerons endormis, quand tout à coup un évènement inattendu se produisit...

Boum! Me voici sur le plancher, encore une fois les insectes peuplaient mes songes.