¿Quién mató al embajador? (esp)
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¿Quién mató al embajador? (esp)
¿Quién mató al embajador?
de Alberto Vázquez-Figueroa
Résumé : (je traduis le résumé de cette page : lecturalia.com/libro/5343/quien-mato-al-embajador)
Dans la République d'Esmeralda (Emeraude), pays imaginaire d'Amérique latine, a lieu un coup d'Etat ayant pour but de contrôler l'exploitation de gisements de pétrole et de cuivre récemment découverts. L'enlèvement de l'ambassadeur des Etats-Unis met la pagaille dans les plans orchestrés par les services américains et le gouvernement d'Esmeralda.
Dans la République d'Esmeralda (Emeraude), pays imaginaire d'Amérique latine, a lieu un coup d'Etat ayant pour but de contrôler l'exploitation de gisements de pétrole et de cuivre récemment découverts. L'enlèvement de l'ambassadeur des Etats-Unis met la pagaille dans les plans orchestrés par les services américains et le gouvernement d'Esmeralda.
Éditeur : ?
Collection : ?
Broché : 256 pages
Date de parution : 1975
Prix : 3,95€
Dernière édition par Asheka le Dim 9 Déc 2012 - 21:02, édité 1 fois
Re: ¿Quién mató al embajador? (esp)
Ma soeur m'avait prêté ce livre quand je cherchais à lire en espagnol pour préparer un examen ; pas vraiment le genre de livre que j'aurais choisi spontanément, mais elle n'avait pas énormément de choix
Ce roman nous plonge dans la misère des bidonvilles et la corruption des gouvernements ; c'est un livre engagé, dont le titre prend tout son sens dans le dernier chapitre. Le style est abordable (j'ai appris l'espagnol dans le métro parisien, et je n'ai pas eu de difficulté particulière pour le lire), et la fin ouvre la porte à une réflexion sur le monde actuel, la corruption des pays pauvres, l'ingérence des états "forts", l'immoralité d'un monde dans lequel on affame des enfants pour s'enrichir grâce au pétrole ou autre.
pour ma part.
Ce roman nous plonge dans la misère des bidonvilles et la corruption des gouvernements ; c'est un livre engagé, dont le titre prend tout son sens dans le dernier chapitre. Le style est abordable (j'ai appris l'espagnol dans le métro parisien, et je n'ai pas eu de difficulté particulière pour le lire), et la fin ouvre la porte à une réflexion sur le monde actuel, la corruption des pays pauvres, l'ingérence des états "forts", l'immoralité d'un monde dans lequel on affame des enfants pour s'enrichir grâce au pétrole ou autre.
pour ma part.
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