Quand le personnage principal d'un livre s'en prend "plein la gueule" non-stop (Des qu'il règle un probleme, un autre arrive...), vous aimez ou vous détestez ?

Quand le personnage principal d'un livre s'en prend "plein la gueule" non-stop (Des qu'il règle un probleme, un autre arrive...), vous aimez ou vous détestez ?

Ça fait pas réaliste alors j'aime pas trop.

Là tout de suite ça m'évoque L’Épée de Vérité et effectivement, je trouve ça too much.

Etant donné que c'est un des principes des polars ou des thrillers que j'adore, je peux pas dire que je déteste !

Si c'est à la manière dont l'écrit Roussette dans sa fic sur Bleach, oui j'adore, ça me fait bien marer ^^

Spoiler:

Ben ça dépend mais généralement sa finis par me gonfler.

C'est pas très réaliste puis il a bien le droit de souffler un peu notre héros

En fait, c'est un peu le cas aussi dans Les Piliers de la Terre et Un Monde sans Fin de Ken Follett, et j'ai adoré ces deux livres. Donc je tempère mon propos précédent.

@Asheka: tiens c'est marrant j'avais pas perçu la même chose, c'est vrais qu'ils s'en prennent plein la tronche mais ça m'a pas paru irréaliste. Et puis si je me souviens bien K.Follet les laisses se reposer un peu.

Je suis d'accord, dans les Follett ça paraît réaliste, mais je trouve que ça ressemble quand même à du ping-pong

Je crois que y'a tout un pan de la littérature (et même de la fiction en général) qui est remplie de personnage persécutés qui s'en prennent plein la tronche à longueur de bouquin. Pour qu'on s’identifie et surtout qu'on ressente de l'empathie pour le héros quoi de mieux que de terribles épreuves limite tragiques. De Ulysse à Œdipe, de Causette à Oliver Twist, de Jane Eyre à Mathilda ou Harry Potter, misère, parents violents ou négligent, fatalité, courroux des Dieux, bref quand les héros sont heureux qu'est-ce qu'on s'em...de ! (on peut prendre aussi l'exemple des séries télé, où le héros moyen cumule les tragédies personnelles et les coups du sort -Jack Baueur le nouveau Sisyphe- ).
Donc pour répondre à la question, les perso principaux maltraités dans son bouquin que j'aime c'est tout ceux là, plus leurs dignes héritiers

Je pense que ça dépend comment c'est fait, je me suis jamais vraiment posé la question...

Si c'est trop excessif, non, mais comme le dit si bien keogh, lorsqu'un personnage en prend "plein la gueule", on peut parfois s'identifier à lui, ça le rend attachant, et donc intéressant. Donc je ne déteste pas, j'aime, mais modéremment quand même