[King, Stephen] Cujo
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[King, Stephen] Cujo
Cujo
de Stephen King
de Stephen King
Présentation de l'éditeur : Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans. Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauves-souris. Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l'approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna, un couple en crise, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d'épouvante, un cauchemar nommé Cujo... Publié il y a vingt-cinq ans, Cujo reste une des oeuvres majeures de Stephen King, et un classique de l'épouvante.
Quatrième de couverture : "La chaleur tuera cet été ! Ça va être terrible", avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas : l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût jamais connu. Ce fut aussi un été sanglant. En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-Bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre... Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons ! Ils se trompaient : même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre...
Quatrième de couverture : "La chaleur tuera cet été ! Ça va être terrible", avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas : l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût jamais connu. Ce fut aussi un été sanglant. En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-Bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre... Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons ! Ils se trompaient : même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre...
Poche : 442 pages
Editeur : LGF
Collection : Le Livre de Poche
Date de parution : le 16 février 2006
Prix : 6,95 €
Note moyenne:
Notes :
Louve
Kate
Dernière édition par Ivy le Ven 15 Juin 2018 - 20:18, édité 2 fois
Ivy- Admin fondateur
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Re: [King, Stephen] Cujo
Mon opinion :
Ce qui me fascine aussi chez lui, c’est sa relation avec l’enfance et au fil des pages de ce livre, je me suis convaincue qu’il a su conserver en lui l’âme d’un enfant, car sinon, il n’aurait jamais pu nous terroriser autant avec un sujet tel que celui là...
Je l’ai acheté sans conviction. Je l’ai finalement lu, de longs mois après son achat.
J’ai bien l’impression que lorsqu’on ouvre un King, il faut se faire à l’idée que ça peut aller n’importe où…impossible de savoir d’avance ce qu’il va nous servir. Du fantastique ? de l’horreur ? du thriller ? du roman ? le bonhomme n’entre dans aucune catégorie et passe de l’une à l’autre. Je pensais que c’était un roman fantastique, le gros toutou possédé par je ne sais quoi. Et que nenni, pas de fantastique là dedans…
Alors quoi ? et bien à partir d’un sujet plutôt simple il nous monte une histoire angoissante au possible !! j’ai rarement été aussi agitée en lisant un livre : voulant arrêter sa lecture parce que trop stressant, envie de me filer des tartes de penser ça, m’asseyant, me relevant avec le bouquin en main, prenant à témoin mon pauvre toutou couché à mes pieds…bref, le délire…
Tout est bien ficelé dans ce livre. La peur d’enfant que nous avons tous connu, les manœuvres des parents pour tenter d’apaiser cette peur, les sentiments d’une femme au foyer qui se sent vieillir, le mari surbooké cocu jusqu’au trognon, la famille Camber et ses problèmes, le monde des affaires et la crainte de la perte d’emploi…bref, des tranches de vie humaine décrites avec une grande finesse. Jusqu’au moment où un rien, une petite morsure fait basculer tout ça, rendant bien dérisoires tous les problèmes.
Le huis clos dans la voiture est tout simplement abominable. King encore une fois, ne nous épargne rien, mais tout est si vrai, si fort…on lit, on lit, et on se rend compte que le fameux huis clos dure presque 200 pages…200 pages où King nous vrille les nerfs avec juste 3 personnages…voilà le talent…
Alors mon conseil est, vous l’aurez compris : A lire ABSOLUMENT !!!!
Ce qui me fascine aussi chez lui, c’est sa relation avec l’enfance et au fil des pages de ce livre, je me suis convaincue qu’il a su conserver en lui l’âme d’un enfant, car sinon, il n’aurait jamais pu nous terroriser autant avec un sujet tel que celui là...
Je l’ai acheté sans conviction. Je l’ai finalement lu, de longs mois après son achat.
J’ai bien l’impression que lorsqu’on ouvre un King, il faut se faire à l’idée que ça peut aller n’importe où…impossible de savoir d’avance ce qu’il va nous servir. Du fantastique ? de l’horreur ? du thriller ? du roman ? le bonhomme n’entre dans aucune catégorie et passe de l’une à l’autre. Je pensais que c’était un roman fantastique, le gros toutou possédé par je ne sais quoi. Et que nenni, pas de fantastique là dedans…
Alors quoi ? et bien à partir d’un sujet plutôt simple il nous monte une histoire angoissante au possible !! j’ai rarement été aussi agitée en lisant un livre : voulant arrêter sa lecture parce que trop stressant, envie de me filer des tartes de penser ça, m’asseyant, me relevant avec le bouquin en main, prenant à témoin mon pauvre toutou couché à mes pieds…bref, le délire…
Tout est bien ficelé dans ce livre. La peur d’enfant que nous avons tous connu, les manœuvres des parents pour tenter d’apaiser cette peur, les sentiments d’une femme au foyer qui se sent vieillir, le mari surbooké cocu jusqu’au trognon, la famille Camber et ses problèmes, le monde des affaires et la crainte de la perte d’emploi…bref, des tranches de vie humaine décrites avec une grande finesse. Jusqu’au moment où un rien, une petite morsure fait basculer tout ça, rendant bien dérisoires tous les problèmes.
Le huis clos dans la voiture est tout simplement abominable. King encore une fois, ne nous épargne rien, mais tout est si vrai, si fort…on lit, on lit, et on se rend compte que le fameux huis clos dure presque 200 pages…200 pages où King nous vrille les nerfs avec juste 3 personnages…voilà le talent…
Alors mon conseil est, vous l’aurez compris : A lire ABSOLUMENT !!!!
( Modo : Mise à jour des notes )
Invité- Invité
Re: [King, Stephen] Cujo
J'ai eu l'occasion il y a peu de voir le film. Et n'ayant pas été satisfaite, je me suis dit que le mieux était de lire le roman.( comme bien souvent).
Publié en 1981 par Stephen King, auteur qu'on n'a plus besoin de présenter, car connu de par le monde entier, ce roman sort du fantastique. Nous sommes ici dans l'horreur absolu avec un fait tout à fait naturel : la rage. J'ai beaucoup apprécié ce roman pour de nombreuses raisons. Tout d'abord pour la psychologie des personnages. L'auteur aime nous faire entrer dans la tête de ses personnages pour davantage comprendre leur motivation.
Et on a même l'occasion d'entrer dans la tête de Cujo, et ça j'ai pour ma part adoré. On découvre un chien qui au fond ne souhaite pas faire de mal mais qui n'a pas le choix, à cause de sa maladie, il a attrapé la rage. Et ici on découvre toute la difficulté pour un animal de résister face à ce fléau.
Je n'ai pas vraiment apprécié Donna, l'héroïne. Elle tergiverse beaucoup trop à mon goût pour savoir comment sauver son fils.
Et je n'aime pas non plus l'excuse qu'elle donnera à son mari pour expliquer sa tromperie avec Kemp. ( qui lui est un vrai salaud mais j'ai adoré son personnage pour le peu de fois qu'il apparaît.)
Au départ, l'histoire démarre doucement. On découvre la multitude de personnages et le chien lorsqu'enfin tout commence. Cujo tue, sans le vouloir, sans savoir ce qu'il fait ni pourquoi. ( à part pour aller mieux car c'est de la faute a l'HOMME qu'il ne va pas bien et qu'il a mal partout).
Lorsque les meurtres ont lieux, je les ai trouvé bien écrit, bien raconté sans trop en faire, ce qui ne gâche en rien les scènes.
Et lorsque c'est Donna et Tad qui se retrouve confrontés à l'animal, le roman prend une tournure vraiment tragique.
Ce n'est à mes yeux pas le meilleur Stephen King que j'ai pu lire, mais cela reste quand même un très bon roman de l'aueur! Il y a d'ailleurs beaucoup de différences entre le roman et le film et cela aurait été plus judicieux de prendre réellement en compte le roman pour réussir à en faire un excellent film!
Publié en 1981 par Stephen King, auteur qu'on n'a plus besoin de présenter, car connu de par le monde entier, ce roman sort du fantastique. Nous sommes ici dans l'horreur absolu avec un fait tout à fait naturel : la rage. J'ai beaucoup apprécié ce roman pour de nombreuses raisons. Tout d'abord pour la psychologie des personnages. L'auteur aime nous faire entrer dans la tête de ses personnages pour davantage comprendre leur motivation.
Et on a même l'occasion d'entrer dans la tête de Cujo, et ça j'ai pour ma part adoré. On découvre un chien qui au fond ne souhaite pas faire de mal mais qui n'a pas le choix, à cause de sa maladie, il a attrapé la rage. Et ici on découvre toute la difficulté pour un animal de résister face à ce fléau.
Je n'ai pas vraiment apprécié Donna, l'héroïne. Elle tergiverse beaucoup trop à mon goût pour savoir comment sauver son fils.
Et je n'aime pas non plus l'excuse qu'elle donnera à son mari pour expliquer sa tromperie avec Kemp. ( qui lui est un vrai salaud mais j'ai adoré son personnage pour le peu de fois qu'il apparaît.)
Au départ, l'histoire démarre doucement. On découvre la multitude de personnages et le chien lorsqu'enfin tout commence. Cujo tue, sans le vouloir, sans savoir ce qu'il fait ni pourquoi. ( à part pour aller mieux car c'est de la faute a l'HOMME qu'il ne va pas bien et qu'il a mal partout).
Lorsque les meurtres ont lieux, je les ai trouvé bien écrit, bien raconté sans trop en faire, ce qui ne gâche en rien les scènes.
Et lorsque c'est Donna et Tad qui se retrouve confrontés à l'animal, le roman prend une tournure vraiment tragique.
Ce n'est à mes yeux pas le meilleur Stephen King que j'ai pu lire, mais cela reste quand même un très bon roman de l'aueur! Il y a d'ailleurs beaucoup de différences entre le roman et le film et cela aurait été plus judicieux de prendre réellement en compte le roman pour réussir à en faire un excellent film!
Mise à jour des notes
Invité- Invité
Re: [King, Stephen] Cujo
Encore une fois, Stephen démontre sa maîtrise dans l'art du suspense et de l'épouvante. Une véritable montée en puissance de l'horreur qui commence dès les premières pages,avec l'installation d'un malaise, et qui atteint son paroxysme à la chute de l'histoire. Ce qui rend cette histoire encore plus prenante et plus insoutenable, c'est que, bien que tiré par les cheveux, celà n'a rien d'irréaliste. Un chef d'oeuvre, c'est un très bon livre, malgrer quelques longeurs.Tout ne reposait pas sur Cujo, mais d'une facon ou d'une autre tout est à cause de lui. Vraiment un livre intense, et la fin me laisses vide, disons sans mot, En particulier la dernière page.
Enfin tout cela pour dire que j'adore Stephen King.
Enfin tout cela pour dire que j'adore Stephen King.
Invité- Invité
Re: [King, Stephen] Cujo
Hey la compagnie !
Brrr ce livre est horrible ! je l'ai lu quand j'avais 11 ou 12 ans, j'ai dus cacher le bouquin sous une pile de livre pour pas voir la couverture le soir avant d'aller dormir ^^ !
Brrr ce livre est horrible ! je l'ai lu quand j'avais 11 ou 12 ans, j'ai dus cacher le bouquin sous une pile de livre pour pas voir la couverture le soir avant d'aller dormir ^^ !
Invité- Invité
Re: [King, Stephen] Cujo
Smile a écrit:j'ai dus cacher le bouquin sous une pile de livre pour pas voir la couverture le soir avant d'aller dormir ^^ !
Ivy- Admin fondateur
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Humeur : Joyeuse et positive :)
Re: [King, Stephen] Cujo
Beaucoup de livres de Stephen King font cet effet-là aux enfants...
Invité- Invité
Re: [King, Stephen] Cujo
Nymphy a écrit:Beaucoup de livres de Stephen King font cet effet-là aux enfants...
Et pas qu'aux enfants...
Line- Admin
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