[Schmitt, Eric-Emmanuel] Lorsque j'étais une œuvre d'art
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[Schmitt, Eric-Emmanuel] Lorsque j'étais une œuvre d'art
Lorsque j'étais une œuvre d'art
de Eric-Emmanuel Schmitt
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de Eric-Emmanuel Schmitt
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Résumé : Dans un État insulaire, Tazio, le frère cadet des jumeaux Firelli, deux mannequins célèbres d'une grande beauté, a décidé, à vingt ans, de se suicider en se jetant du haut d'une falaise, puisqu'il se trouve laid, banal et médiocre, dans l’ombre de ses frères, connus dans le monde entier pour leur beauté. Il en est empêché par la proposition de Zeus-Peter Lama, un artiste qui lui demande 24 heures pour changer sa vie. L'artiste contemporain exubérant lui propose de faire disparaître complètement son ancienne et déprimante vie, et de faire de lui une sculpture vivante nommé Adam bis. Il va ensuite soumettre sa volonté à Zeus-Peter Lama qu’il appelle son « bienfaiteur » et va se laisser transformer. Son corps va être totalement transformé et déshumanisé pour devenir une « œuvre d’art ». Sa rencontre avec un autre artiste, le peintre Hannibal va lui faire adopter une autre vision sur le monde, lui et Fiona, sa fille l'encouragent et lui donnent la volonté de reconquérir et réclamer son droit à la vie et à la liberté. Le personnage de Tazio Firelli nous montre que l’homme accorde trop d’importance aux opinions d'autrui et donc à son apparence et va, le cas échéant, tenter de la changer pour se faire accepter. Tazio va apprendre à adopter une autre philosophie tout au long du roman. Après avoir été détruit, il découvre des valeurs comme l’amour et l'affection pour la famille à la fin du roman. Zeus-Peter Lama est un homme extravagant et se considère lui-même comme « le plus grand peintre et le plus grand sculpteur de notre temps » et est à la quête du succès tandis que Hannibal aime son art et affirme que « la gloire va mieux aux morts […], c’est un vêtement d’emprunt, elle rend les vivants ridicules. » Ce roman philosophique pour ainsi dire, invite le lecteur à réfléchir sur soi-même. Est-il plus préférable de rester soi-même ou de cherche l'admiration par la société à tout prix en se dépersonnalisant ?
Éditeur : Albin Michel
Date de sortie : 2002
Disponible en format Poche : oui
Éditeur : Albin Michel
Date de sortie : 2002
Disponible en format Poche : oui
Dernière édition par Le Korrigan le Ven 4 Nov 2016 - 20:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] Lorsque j'étais une œuvre d'art
Coucou, j'ai lu les règles j'ai dû passer à côté de ça, je m'excuse
Là je dois sortir manger donc je ferais les autres ce soir ou demain si ça te ne dérange pas.
Pour ce qui est de ce livre :
Ma note :
Mon avis
Les avis ont beau dire "lecture simple", je ne suis pas d'accord.
Je garde un sentiment de gêne. Lecture pas aussi simple que ça, je ne suis pas habitué à cette qualité d'écriture.
L'écrivain décrit avec beauté et dégoût ce dont l'humain est capable d’accomplir, aussi bien en mal qu'en bien. La déshumanisation, le pouvoir de l'homme sur l'homme, jamais je n'aurai imaginé qu'il puisse se produire un telle chose, heureusement c'est ce la fiction. Quelques, parfois il suffit d'allumer la TV et de regarder la TV pour voir des horreurs faites par l'Homme.
Une fin "heureuse" avec du chemin à parcourir avant de la trouver...
Là je dois sortir manger donc je ferais les autres ce soir ou demain si ça te ne dérange pas.
Pour ce qui est de ce livre :
Ma note :
Mon avis
Les avis ont beau dire "lecture simple", je ne suis pas d'accord.
Je garde un sentiment de gêne. Lecture pas aussi simple que ça, je ne suis pas habitué à cette qualité d'écriture.
L'écrivain décrit avec beauté et dégoût ce dont l'humain est capable d’accomplir, aussi bien en mal qu'en bien. La déshumanisation, le pouvoir de l'homme sur l'homme, jamais je n'aurai imaginé qu'il puisse se produire un telle chose, heureusement c'est ce la fiction. Quelques, parfois il suffit d'allumer la TV et de regarder la TV pour voir des horreurs faites par l'Homme.
Une fin "heureuse" avec du chemin à parcourir avant de la trouver...
Invité- Invité
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