[Loevenbruck, Henri] Nous rêvions juste de liberté
Le Forum de la Littérature Fantastique :: Autres genres littéraires :: La littérature classique & générale
Page 1 sur 1
[Loevenbruck, Henri] Nous rêvions juste de liberté
Nous rêvions juste de liberté
Henri Loevenbruck
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Henri Loevenbruck
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Résumé : «Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté.» Ce rêve, la bande d'Hugo va l'exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l'indépendance et l'amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher. Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d'être à la fois un roman initiatique, une fable sur l'amitié en même temps que le récit d'une aventure. Avec ce livre d'un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.
Éditeur : FlammarionNombre de pages : 436
Date de parution : Avril 2015
Prix : 21,00 euros mais il sort le 29 mars 2017 en "J'ai lu - Librio" à 7,20 €.
Aucune excuse donc pour ne pas l'avoir dans sa bibliothèque.
Tatooa- Bibliovore
- Messages : 8969
Date d'inscription : 28/06/2012
Age : 59
Re: [Loevenbruck, Henri] Nous rêvions juste de liberté
Un bouquin écrit avec les tripes, et qui parle aux tripes...
....
....
....
J'ai beaucoup pleuré à la fin. Je n'ai pas grand chose à dire, avec plus de 100 avis (sur Babelio et ailleurs) tout a déjà été dit sans doute, je ne les ai pas tous lus...
Si ce n'est que peut-être, je suis contente d'avoir été une ado soumise et timide, et de n'être devenue "rebelle" que sur le très tard... Sinon je ne serais sans doute plus là pour en parler, vu que Bohem, bah, c'est moi et tous ceux qui ne supportent pas l'hypocrisie, la lâcheté, la bassesse, la minablerie humaine, les "homines crevarices" sans conscience, comme dit Alfaric (Babelio)...
Et aussi qu'il y a des choses dans ce bouquin qu'on ne peut ressentir à sa lecture que quand on pilote sa propre bécane... Je le sais car j'ai longtemps été sds (= sac de sable = passagère), et hier, sur ma bécane (qui est quand même une bécane "d'homme", qui chante rauque, qui vibre, qui vit, qui demande un brin de violence et de poigne pour être "domptée"...), je me disais justement que cette sensation grisante, si on n'a jamais piloté, on peut pas savoir ce que c'est...
"On roulait comme on respirait : pour pas mourir..."
j'avais 41 ans et j'étais en train de mourir quand un jour mon homme a ramené une bécane à la maison et que d'un coup je me suis rappelé que mon rêve quand j'étais ado, c'était de devenir une motarde, tatouée, libre... Les tatoos, c'était fait, j'ai décidé de passer le permis. Mais ce n'est pas lui qui a fait de moi une motarde, c'est mon homme et les heures d'entraînement sur parking (et sur route mais faut pas le dire fort...) qu'on a fait tous les deux, car c'est pas le permis qui apprend à "maîtriser la bête", mais une pratique intense et assidue... Et je suis à nouveau vivante... Alors je sais de quoi Bohem il cause... Voilà. C'est tout.
Une note...
Est-ce bien utile ?
....
....
....
J'ai beaucoup pleuré à la fin. Je n'ai pas grand chose à dire, avec plus de 100 avis (sur Babelio et ailleurs) tout a déjà été dit sans doute, je ne les ai pas tous lus...
Si ce n'est que peut-être, je suis contente d'avoir été une ado soumise et timide, et de n'être devenue "rebelle" que sur le très tard... Sinon je ne serais sans doute plus là pour en parler, vu que Bohem, bah, c'est moi et tous ceux qui ne supportent pas l'hypocrisie, la lâcheté, la bassesse, la minablerie humaine, les "homines crevarices" sans conscience, comme dit Alfaric (Babelio)...
Et aussi qu'il y a des choses dans ce bouquin qu'on ne peut ressentir à sa lecture que quand on pilote sa propre bécane... Je le sais car j'ai longtemps été sds (= sac de sable = passagère), et hier, sur ma bécane (qui est quand même une bécane "d'homme", qui chante rauque, qui vibre, qui vit, qui demande un brin de violence et de poigne pour être "domptée"...), je me disais justement que cette sensation grisante, si on n'a jamais piloté, on peut pas savoir ce que c'est...
"On roulait comme on respirait : pour pas mourir..."
j'avais 41 ans et j'étais en train de mourir quand un jour mon homme a ramené une bécane à la maison et que d'un coup je me suis rappelé que mon rêve quand j'étais ado, c'était de devenir une motarde, tatouée, libre... Les tatoos, c'était fait, j'ai décidé de passer le permis. Mais ce n'est pas lui qui a fait de moi une motarde, c'est mon homme et les heures d'entraînement sur parking (et sur route mais faut pas le dire fort...) qu'on a fait tous les deux, car c'est pas le permis qui apprend à "maîtriser la bête", mais une pratique intense et assidue... Et je suis à nouveau vivante... Alors je sais de quoi Bohem il cause... Voilà. C'est tout.
Une note...
Est-ce bien utile ?
Tatooa- Bibliovore
- Messages : 8969
Date d'inscription : 28/06/2012
Age : 59
Sujets similaires
» [loevenbruck, henri] la moïra
» [Loevenbruck, Henri] L'Apothicaire
» [Loevenbruck, Henri] Le Syndrôme Copernic
» [Loevenbruck, Henri] Les Cathédrales du Vide
» [Loevenbruck, Henri] Le Testament des Siècles
» [Loevenbruck, Henri] L'Apothicaire
» [Loevenbruck, Henri] Le Syndrôme Copernic
» [Loevenbruck, Henri] Les Cathédrales du Vide
» [Loevenbruck, Henri] Le Testament des Siècles
Le Forum de la Littérature Fantastique :: Autres genres littéraires :: La littérature classique & générale
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|